Mes très cher(e)s ami(e)s lectrices et lecteurs, auditrices et auditeurs, chers fans, chers petits,
Je viens vous remercier de votre soutien indéfectible, et de l’admiration que vous me manifestez où que je me trouve. Lorsque les choses vont mal je pense à vous, à vos manifestations d’amitié chaleureuse, je songe à vos visages, cela m’aide et j’y puise une grande part de mon courage.
Avec le retour des Salons Littéraires comme les fleurs du printemps qui m’émerveillent aussi, notre volonté à Maurice et moi-même s’est ravivée. Nous étions au point mort plongés dans une extrême lassitude après une longue hivernation. Nos maladies, nos handicaps, nos douleurs continuelles de jour comme de nuit, contre lesquelles nous luttons pied à pied, nous rendent le quotidien bien lourd et bien difficile. Nous nous cramponnons de toutes nos forces à nos passions qui, finalement, nous transcendent. Alors, une fois encore, nous voici repartis sur les routes en nous accrochant, l’un l’autre, mais aussi à vous qui nous aider tant par votre écoute, nos échanges, notre bonheur d’être ensemble avec vous.
Quelle merveille que ces premiers Salons de mars avec le très grand beau temps, où votre présence s’est faite si nombreuse dans un partage autour de nous, de moi et de mes livres, où il m’a fallu dédicacer tant de fois au point de n’en pouvoir manger, ni boire un café sans qu’il ne soit froid. Oui, mais quel bonheur échangé, quel grâce, quelle fête pour nos cœurs, à vous comme à moi, remplis de cette chaleur humaine tellement indispensable aux êtres que nous sommes, êtres de souffrance avides de joies simples et de reconnaissances.
Vos regards, votre attention m’ont, profondément, touchés et je pense à vous ce soir. Je pense à vous, ami(e)s lectrices, lecteurs, à vous tous, rencontrés lors de ces Salons du Livre, ces Marchés de Noël, à vous sur le net qui me lisez et commandez mes livres. Vous me rendez fière par ce que vous me renvoyez de vos impressions dans vos petits messages qui illuminent mon livre d’or. Lorsque je peine, que je faiblis alors je les relis et cela me renforce dans ma conviction de travailler, inlassablement, à vous faire rêver, à partager avec vous la joie intense que je ressens à conter et à partager des histoires.
Mes contes ravissent petits et grands mais j’éprouve le grand bonheur de vous avoir touchés dans mon récit autobiographique « Les Sanglots du Vent » et de vous faire pleurer avec « Docteurs, vous m’avez tué ! » un livre rédempteur.
Et puis, cette communication presque journalière que j’entretiens avec vous dans mes sites me donne le plaisir de vous lire dans vos messages et de maintenir ce lien qui ne peut se défaire malgré le temps et l’absence.
Voilà ce que ce soir j’avais envie de vous dire à vous tous. Je pense à vous, à vos âmes, à vos yeux, à vos mains en quête de réconfort, de paroles, d’histoires, d’espoir... et les larmes me viennent. C’est sans doute cela le bonheur…
Je vous aime.
Dana
(P.S. : ... bientôt 100000 lecteurs uniques sur ce site ! )
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